Martine Pouchain
Martine Pouchain est née à Amiens où elle passe toute son enfance et son adolescence, dans un milieu qui ne la prédispose pas précisément à devenir écrivain. En effet, sa famille, évoluant pour partie dans l’artisanat du bâtiment, et pour l’autre partie, dans l’agriculture, n’est guère encline à encourager une aptitude pour l’écriture qui lui semble peu apte à offrir une sécurité pécuniaire.
D’un naturel rêveur et dotée de peu d’appétit pour les études, excepté les cours de français où elle se montre souvent brillante –rédigeant même à l’occasion les rédactions de ses camarades moins douées–, Martine Pouchain s’empresse donc de voler de ses propres ailes sitôt le bac obtenu. Son insouciance «cigalesque» la mène à occuper divers emplois sans grand intérêt, la fait déménager plusieurs fois et tenter bien des expériences, avant que le désir d’écrire ne revienne s’imposer comme une évidence.
Là encore, elle s’essaie à plusieurs genres et, en particulier, au scénario d'un long métrage qui va la conduire à explorer l’époque médiévale. Un jour, elle imagine les aventures d’un bouffon étrange et facétieux. Un producteur de cinéma lui achète son histoire (non encore montée à ce jour). Et le sort en est jeté. Au diable la certitude et les salaires confortables et vive l’aventure périlleuse des droits d’auteur!
Martine Pouchain n’envisage pas d’écrire sans avoir la possibilité d’instiller, ici ou là, quelques graines de sagesse, qu’à son gré on prend ou on laisse. Qu’il s’agisse d’une comédie contemporaine, d’une aventure médiévale, ou d’un roman policier, elle s’efforce toujours d’y mêler humanisme, amour forcené de la vie et de l’humain et, surtout, élan vers notre propre vérité qui doit s’affranchir de la peur d’être rejeté. Son enfance porte probablement les germes de ce défi : quels que soient les apparents obstacles, on peut devenir ce qu’on souhaite devenir, et il n’est jamais trop tard!
Ses loisirs la portent évidemment vers le cinéma, avec une véritable passion pour Charlie Chaplin, et une vénération particulière pour l’univers de Capra, Hitchcock, Mankiewicz et Spielberg.
Dans le domaine littéraire, Gide, Ionesco, Nietzsche, Giono et Maeterlinck ont contribué à renforcer sa pensée et à fortifier sa vocation. Elle a, bien entendu, l’intention de continuer à écrire pour le cinéma qui lui semble être un support inévitable en cette époque dominée par l’image.
D’un naturel rêveur et dotée de peu d’appétit pour les études, excepté les cours de français où elle se montre souvent brillante –rédigeant même à l’occasion les rédactions de ses camarades moins douées–, Martine Pouchain s’empresse donc de voler de ses propres ailes sitôt le bac obtenu. Son insouciance «cigalesque» la mène à occuper divers emplois sans grand intérêt, la fait déménager plusieurs fois et tenter bien des expériences, avant que le désir d’écrire ne revienne s’imposer comme une évidence.
Là encore, elle s’essaie à plusieurs genres et, en particulier, au scénario d'un long métrage qui va la conduire à explorer l’époque médiévale. Un jour, elle imagine les aventures d’un bouffon étrange et facétieux. Un producteur de cinéma lui achète son histoire (non encore montée à ce jour). Et le sort en est jeté. Au diable la certitude et les salaires confortables et vive l’aventure périlleuse des droits d’auteur!
Martine Pouchain n’envisage pas d’écrire sans avoir la possibilité d’instiller, ici ou là, quelques graines de sagesse, qu’à son gré on prend ou on laisse. Qu’il s’agisse d’une comédie contemporaine, d’une aventure médiévale, ou d’un roman policier, elle s’efforce toujours d’y mêler humanisme, amour forcené de la vie et de l’humain et, surtout, élan vers notre propre vérité qui doit s’affranchir de la peur d’être rejeté. Son enfance porte probablement les germes de ce défi : quels que soient les apparents obstacles, on peut devenir ce qu’on souhaite devenir, et il n’est jamais trop tard!
Ses loisirs la portent évidemment vers le cinéma, avec une véritable passion pour Charlie Chaplin, et une vénération particulière pour l’univers de Capra, Hitchcock, Mankiewicz et Spielberg.
Dans le domaine littéraire, Gide, Ionesco, Nietzsche, Giono et Maeterlinck ont contribué à renforcer sa pensée et à fortifier sa vocation. Elle a, bien entendu, l’intention de continuer à écrire pour le cinéma qui lui semble être un support inévitable en cette époque dominée par l’image.